Mon jardin de vers

Dans la pénombre du lit clos

Par des rideaux de mousseline

Ma Chère, pardon de t’écrire ce poème

Ton envoutement ravive sans cesse mon feu

Je suis l'ami des vers qui aime le partage Oiseau arborant un fabuleux plumage Mes couleurs se reflètent sur vos rivages Quand je viens  survoler vos  paysages.

Dans l'auroral matin, on sent resplendir

Une douce lueur et une vive fraîcheur

Quand d’amour, on se regarde

Ce sont nos lèvres qui s’effleurent