Mon jardin de vers

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Je viens t’écrire parce que toi, je t'aime
J'ai aimé te le dire ainsi en simple poème
De ma plume pleurant son encre, mon âme
Déversant, mon amour pour toi chère Dame.

Que je t'aime, oui, je t'aime telle une rengaine
Une mélodie dans ma tête en une ritournelle
M'emportant de joies, d'instances euphories
D'amoueruses pensées bien remplies d'envie.

Et de tout mon être, je t'aime, ô, oui, je t'aime
Tu as su percer ma chair, tu circules en mes veines
Nourri mon cœur de tendresse en chaleur
En délicatesse, avec soin, m'apportant bonheur.

Mais que je t'aime, toi, Muse de mes quatrains
Imagine la scène, si se touchent nos mains
De tout mon corps, je serai à toi, je m'execute 

Virevoltent mes passions et désirs, où j'exulte.

Oui, je t'aime, oui, je t'aime, mon cher amour
Tu transformes ainsi mes nuits en beaux jours
Où les yeux grands ouverts de paillettes d'étoiles
Sur tout mon être éperdu, tu as su tisser ta toile.

Sabri

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Allons à la clairière ma chère

Étendons-nous à notre aise

Ne sens-tu pas la chaleur

De mon amour de braise ?

 

Mots tendres et mots doux

A l’oreille, je te prononce

Mots houle et mots fous

La fougue de mes stances.

 

Embrassons-nous, ma chère

Livrons-nous à cette flamme

Qui, née du fond des cœurs

Enivre nos corps et nos âmes.

 

Le jeu savant de nos mains

Sur nos mélodies intimes

Le vertige de nos câlins

Dans nos abysses sublimes.

 

Nous enivrer de ces splendeurs

Est un agréable partage 

En ces heures printanières

Que la passion se propage.

 

Se priver de ça ma chère

Ne nous laisse que le regret  

Allons à la clairière, ma fleur  

Pour s’aimer sans arrêt.

Sabri